LYSA » bad decisions make good stories.

~ Traits de caractères : indépendante, tu cherches toujours à prouver que tu sais te débrouiller toute seule… même si personne ne le conteste. Inventive tu parviens souvent à trouver des solutions à tes problèmes sans faire appel à qui que ce soit. Contestataire & anticonformiste t'as des difficultés à supporter l’autorité et les rapports hiérarchiques. T'aimes remettre en question l’ordre établi et n’hésites pas à provoquer, au risque d’agacer. Mais quand tu parviens à te libérer de tes crispations, tu es alors dynamique, constructive, gaie et facile à vivre ainsi que très généreuse. Peu démonstrative tu n’exprimes pas facilement tes sentiments, tu n'es en effet pas très douée avec les rapports humains ce qui te donne une apparence froide et distante au premier abord, ce n'est qu'un manège bien huilé avec les années pour t'auto-protéger de potentiels déceptions. Facilement irritable, tes réactions peuvent être imprévisibles et tu peux également te montrer très têtue. Inconstante tu as sans cesse besoin de changements, de nouveautés, la stabilité t'a toujours fait défaut et ce dans de nombreux domaines, professionnels comme personnels. Impulsive et fonceuse il t'arrive parfois de prendre des décisions trop hâtives et qui frisent l'incorrection. Sarcastique tu aimes tant rire des autres mais ton humour n'est pas au goût de tous, parfois trop mordant souvent amer c'est presque une défense automatique, un bouclier contre les émotions. Directe quand tu as quelques chose à dire tu ne passes pas par quatre chemin, tu y vas franco, tu ne supportes pas l'hypocrisie mais tu manques souvent de tact. Protectrice envers les gens qui te sont proches, à la moindre menace tu montres les crocs et sautes à la gorge.

~ Histoire & informations en vrac : T'es une gosse de la rue, abandonnée à la naissance par une mère camée t'as grandi dans un orphelinat avant d'être ballottée de familles d'accueil en familles d'accueil. Certaines étaient pas trop minables, d'autres craignaient vraiment. Quoi qu'il en soit on repassera niveau stabilité et sécurité. Enfance volée. ◊ T'as pris l'habitude de te barrer des foyers dans lesquels on te plaçait, habitude que t'as gardé même une fois adoptée par les Van Berckel, tu te cassais par la fenêtre de ta chambre et filais en douce par les escaliers de secours. Être un oiseau dans une cage doré n'a jamais été ton truc. Paradoxalement tu finissais toujours par revenir, et puis t'as compris qu'il y avait vraiment une famille qui t'attendait de l'autre côté pour une fois et t'as mis fin à tes petites virées nocturnes... Enfin disons que tu les as limité ◊ T'aimes ta famille mais tu exècres le milieu dans lequel ils vivent. T'as jamais pu t'y faire et te résoudre à leur ressembler. Les gosses de riches de ton lycée t'insupportaient, ils avaient cette foutue tendance à te considérer comme une pièce rapportée, ils t'ont toujours donné l'impression d'être l'oeuvre de charité de tes parents. Parfois t'y croyais. A présent tu sais que c'est faux. ◊ Tu fais tâche dans cet univers de strass et paillettes et ne fais aucun effort pour t'y intégrer et ce depuis que t'es arrivée dans le saint des saints à tes 15 ans, tu l'assumes fort bien et tu en joues. ◊ On a sans cesse montré du doigt ta fratrie, vous êtes ces curiosités de l'Upper Eas Side, la grande tribu de gamins adoptés, la crise de la quarantaine de vos parents. Ça t'agace d'être une bête curieuse pour les riches bigotes des beaux quartiers mais t'es désinvolte et tu prends tout par dessus la jambe. Si les gens veulent jaser qu'ils jasent. Fuck it ! ◊ Justement en parlant de ta fratrie, tu l'adores. S'attaquer à l'un d'entre vous c'est s'attaquer à tout le clan, question de fierté. Tu les adores ouais mais bon sang y'en a que tu rêves d'étouffer dans leur sommeil aussi, l'entente n'est pas toujours au beau fixe, rarement même. ◊ T'as eu ce qu'on pourrait appeler une "adolescence difficile" faisant vivre un vrai enfer aux Berckel, entre fugues, mauvaises fréquentations, problèmes de drogue et nuits au commissariat on peut dire que tu ne leur as rien épargnée. Heureusement t'as mûrit depuis, du moins, en théorie.  ◊ T'as suivi des études de managment et de comm à Columbia, université de l'Ivy League où tu as seulement été accepté grâce aux relations de tes parents, parce que ton dossier lui ne jouait pas du tout en ta faveur. Tu as également suivi un cursus en musicologie ce qui t'a amené à bosser comme assistante de direction pour un gros label il y a deux ans. T'es partie au bout de quelques mois car la politique de la maison "fric fric fric" t'as tout simplement dégoûté. ◊ T'as enchaîné les stages bizarres et jobs provisoires parce que t'es pas foutue de garder un boulot, t'as envie de toucher à tout et t'as souvent des problèmes avec tes supérieurs. ◊ T'es partie un semestre à Paris quand t'avais 18 ans dans le cadre de tes études, t'as adoré mais pas progressé d'un poils en français évidement. T'étais plus occupée à te goinfrer de viennoiseries et faire le tour des bars de la capitale plutôt qu'à bosser. ◊ Cleptomane sur les bords, les vieilles habitudes sont tenaces ◊  Tu tapisse les murs de ton appart avec des photo de Doineau, Willy Ronis, des reproductions de Renoir, Matisse, Magritte, des coupures de journaux sur les artistes que t'apprécies, des citations d'auteurs, tes propres collages, dessins, créations en tout genre. L'antre des bizarreries un foutoir sans nom, un vrai atelier avec des pinceaux et des vieux bouquins traînant de partout et surtout des vinyles dans tous les coins. T'es fan de musique et de bon rock. Ton été idéal se résume à faire des festivals dans toute l'Europe. ◊ Tu détestes par ailleurs l'ordre, tu trouves l'inspiration dans le chaos et de toute façon les endroits trop calmes et aseptisés te stress ◊ Quand t'avais dix-sept ans tu t'es faîte tatouer un renard sur l'omoplate droite pour ta copine de l'époque dont le nom de famille était "Foxes", t'étais complètement déchirée, la petite-amie est passé le tatoo lui reste. Tu le regrette pas mais ne donne jamais la vraie explication aux curieux qui demandent. A dire vrai t'inventes une histoire différente à chaque fois. ◊ T'adores tout ce qui est vintage, te dire que les objets/vêtements ont eu une histoire, un passé, avant d'être en ta possession tu trouves ça trop cool ◊ Tu peux te montrer très individualiste mais paradoxalement tu t'attaches vite aux gens ◊ T'es habitée par un sentiment d'abandon depuis toute jeune c'est pour cela qu'inconsciemment tu fuis toute forme d'engagement et fais en sorte de faire foirer toutes tes relations amoureuses ◊ Justement en amour, t'es assez difficile à définir. Tu joues à un chaud-froid assez déstabilisant. Tu peux parler à une personne comme si elle n’avait aucun intérêt et, d’un coup, tout miser sur le charme. Tu déteste la routine et veux que l’amour t'apporte une étincelle, une nouvelle expérience, mais en aucun cas de la stabilité. T'as peur de t’ennuyer et de t’enfermer toi-même dans une relation banale que t'es la première à critiquer. Tu ne comprends pas les amoureux fusionnels, qui peuvent se regarder en souriant pendant des heures et ne souhaite surtout pas en arriver là. Au fond, tu cherches un schéma de couple qui n’existe peut-être pas encore. ◊ Tu ne supportes pas les fils et filles à papa de l'Upper East Side qui ont pris l'habitude que tout leur arrive tout cuit dans le bec, pourtant toi-même parfois tu utilises ton nom pour t'ouvrir certaines portes, c'est assez hypocrite tu le sais mais ton côté opportuniste et débrouillarde reprend le dessus. ◊ Inconsciente et excentrique tu recherches toujours l'aventure, le danger, le nouveau. ◊ Loin de la petite jeune fille délicate tu as parfois des allures de vrai garçon manqué, tu es prête à te débattre comme une tigresse, sans redouter de te casser un ongle, ni d'avoir un collant filé. "T'es vraiment qu'une salope" Cherche pas à comprendre, casse-lui la gueule. Et tu peux également être très familière, tu as un langage digne des plus grands philosophes, tu trouves toujours les mots justes. "Vous êtes très con" Fais-lui un doigt d'honneur, et traite-le en lui donnant un coup dans les couilles. ◊ T'es une dur à cuir mais avec une certaine part de fragilité, cabossée et marquée par un passé douloureux mais une guerrière, pas d'apitoiement excessif.

~ Tu aimes : ta fratrie de fêlés même si tu ne l'avoueras jamais à voix haute, l'Europe surtout la France, la musique et la photographie la première prenant une place importante dans ta vie, la nourriture épicée, le sexe, ton job étonnamment, les films de la nouvelle vague, la littérature étrangère, la simplicité.
~ T'aimes pas : les gosses de riches de l'Upper East Side qui ne savent rien faire de leur dix doigts à part dilapider la fortune familiale, la superficialité et l'hypocrisie les gens faux t'insupportent au possible, les embouteillages en même temps qui les aime, cette no life de Gossip Girl, ton connard d'ex-patron, les règles, les promesses parce que personne ne s'y tient jamais - toi la première.