political animal (andrew)

~ Orientation Sexuelle : il aime les hommes, il aime les cheveux frisés pour être politiquement correct. en réalité, il n'aime qu'un homme, ce doux personnage qui arrive à lui donner cet immense amour dont il a besoin. ~ Nombre d'enfants : aucun, ce n'est pas dans ses projets. les enfants, c'est lointain pour lui et au vue de sa condition, il ne peut guère en avoir. ~ Signe Astrologique : né lion, il rugit, il attaque sa proie. dominant, il est prêt à conquérir, à avoir un fort pouvoir. ~ Traits de caractères : ambiverti - dépensier - aimant - cultivé - captivant - séducteur - timide - renfermé - impulsif - têtu - colérique - passionné - sérieux - serein. ~ J'aime : sa présence à mes côtés, le jour de paie, lui faire plaisir -dans tous les sens du terme-, la politique, la justice, regarder des films, la luxure, les vêtements, la décoration. ~ J'aime pas : l'alcool ou l'ivresse précoce qu'elle lui procure, la condition de sa famille, échouer, échouer en amour, échouer au travail, les problèmes d'argent, le confinement, le stress au travail, la sensation paradoxale de routine et d'instabilité. ~ Groupe : tango.

somewhere only we know
  son objet préféré, c'est sa carte bancaire ; déjà petit, il savait à quel point cet objet était magique. il y a juste à composer un code à 4 chiffres et c'est dans la poche. Acheter, acheter, il vit pour acheter. De la décoration, des vêtements, quelque chose pour lui, pour lui faire plaisir. Parfois, il est frustré car il n'a pas assez d'argent mais qu'est ce qu'il aimerait lui offrir le monde. Mais là, il essaie de faire des économies,il veut lui offrir un bel appartement. - il ne tient pas l'alcool. au bout de deux ou trois verres, c'est sa fin. il devient insupportable, il parle de politique, il expose ses idées radicales, il a aussi ce petit côté pervers et sauvage qui le possède pleinement. Le voir alcoolisé, c'est assez moche. - il aime faire des blagues, il se trouve assez drôle. Même si tout le monde trouve qu'il est à chier niveau humour et le pire, c'est qu'ils ont raison. - il adore les relations humaines, avoir des contacts, des connaissances, c'est toujours utile et ça peut rendre grandement service. Faut pas lui demander d'exposer ses amitiés, il a du mal par contre mais il sait sur qui il peut compter. - il subit une myopie assez forte, il a tenté les lentilles mais il les supporte difficilement alors il a de splendides lunettes, il les arbore au quotidien, en espérant que ça lui plait. -il aimerait s'engager dans la politique ; un métier qui lui fait rêver, et ça rapporte. - il n'est pas très famille, il subit d'ailleurs un blocage par rapport à ça. il s'est éloigné de sa propre famille à cause de son mode de vie alors il n'est pas vraiment confiant pour en construire une. ouais, il bloque total sur ça.  

  Décris moi ta journée idéale. : Les Hamptons, avec lui. Deux transats, l'un à coté de l'autre, j'y serais allongé, un magazine people et politique à la main, à lire les divers nouvelles contées sur le territoire américain. Parfois, je caresserais sa main pour me rassurer de sa présence. J'aime ce contact. Et s'il me laisse faire, je plongerais sa main dans ses cheveux, j'y ferais des bouclettes légères et amusantes. Si j'y pense, je lui dirai que je l'aime. Dans cette journée, j'aimerais avoir mon salaire, lui acheter quelque chose de luxueux sans préoccupations. Un gage de mon amour. Avec la chaleur, j'aurais peut-être envie de lui enlever son tee-shirt, de le toucher plus en profondeur, de parsemer son corps de baiser. Le tout sur une de ces musiques passionnelles.
  Tes secrets ont il été dévoilés ? : Aucun, je n'ai rien à me reprocher.
  Quelle est la différence entre l'Upper East Side et Brooklyn ? : Les loyers, les richesses. L'élite et le bas peuple.
  Qui est Gossip Girl ? : Personne. Tout le monde. Qui sait. On s'en fout un peu, je pense ?

all about that bass
 « Madame, cette bague de fiançailles, elle est à combien ? » La bijoutière, le scrutant de haut en bas en lui accordant un regard hautain lui répondit avec franchise : 1300$. Outch. Il la regardait, elle était si belle, si luxueuse. Surtout, elle s'accorderait parfaitement au doigt de Tom. Il ne pouvait la laisser passer. La semaine dernière, il était passé déjà ici, il avait trouvé son bonheur, avait refusé et l'opportunité s'était enfuie. Il ne pouvait recommencer la même bêtise.  « Okay, possibilité de payer en plusieurs fois ? » Subitement, la femme lui hocha la tête négativement. Ils se trouvaient dans une boutique de l'Upper East Side, la cours des grands prenait place ici. Il ne se laisserait pas faire, cette bague,il en avait besoin. Le problème, c'est qu'en ce moment, les finances, c'était pas le top. « Je vous la prends. » Il serait à découvert, aurait surement des problèmes avec son banquier mais bordel, qu'est ce qu'il s'en fichait. Il lui offrirait ce soir, dans leur lit. Il osait pas le restaurant, déjà, avec les finances puis il ne savait pas, ce genre de trucs, c'était privé.


En cette soirée d'été, il se retrouvait dénudé, en caleçon, dans leur lit. Il passait une main dans ses cheveux, l'embrassant dans son cou. Après quelques minutes, il remarquait qu'il ne l'avait embrasser que trop peu sur la bouche. Tout timide, il ajouta un léger « Je t'aime. » avant de lui voler un baiser. Sa journée avait été assez stressante comme ça, au bureau. Ce soir, il ne désirait qu'une chose ; être avec lui, faire ces choses qui hérisseraient surement les cheveux de ses propres parents.

 
Pause café au boulot. Avec un collègue, ils discutent de tout et de rien, de leur vie de couple aussi. «Je rêve tellement d'acheter cet appart, dans l'Upper East Side. Parfois, j'y passe et rah, y'a cette frustration, ça me tue vraiment. J'ai déjà appelé pour une visite et i tout était moins compliqué, je le prendrais. » Son collègue ricana, hochant la tête avec folie. Andy, Andy, ce cher Andy. « Tu l'auras un jour, bon 'pteutre dans dix ans hein. T'économises mais tu peux pas t'empêcher d'acheter aussi. Regarde, y'a cinq jours, tu t'es acheté chemise, pantalon et lingerie sexy pour Tom et toi, t'es grave. » Ouais, il avait raison, c'était plus fort que lui. Mais il l'aurait un jour, il l'aurait.

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✰ Derrière les masques: